OFFRE DE RÉFORME DE LA LOI SUR LES ESPÈCES EN DANGER
OFFRE DE RÉFORME DE LA LOI SUR LES ESPÈCES EN DANGER
BlueRibbon Coalition soutient une approche scientifique des fermetures de terres basées sur l’habitat
BlueRibbon Coalition
Avant-propos par R. Cunningham
La BlueRibbon Coalition a été créée pour protéger l’accès aux terres publiques pour les amateurs de loisirs motorisés responsables. Les vététistes ont été inclus dans les efforts du BRC, car nous sommes considérés comme des utilisateurs mécaniques par la loi et soumis à bon nombre des mêmes restrictions.
Afin d’éloigner les vététistes de vastes zones, la loi sur les espèces en voie de disparition a été utilisée à mauvais escient. Pour des raisons mesquines ou indéfendables, les agresseurs peuvent utiliser la simple existence d’une espèce en voie de disparition ou menacée pour bloquer l’accès du public. En effet, le sentier peut traverser un ruisseau ou traverser une zone où les espèces protégées peuvent exister. Les scientifiques qui tentent de fermer des zones fermées sont souvent biaisés et rarement audités.
De nombreuses fermetures ont été causées par des poursuites civiles coûteuses contre des gestionnaires fonciers, au nom et en l’honneur d’animaux ou de plantes protégés. Ces cas ont été portés à leur attention par les ramifications des principales organisations environnementales. Pour arrêter la perte financière que les gestionnaires fonciers doivent subir pour défendre les États-Unis (utilisateur légitime des sentiers qui, selon la loi, devrait être autorisé à découvrir ces lieux), les sentiers sont fermés dans le cadre de règlements à l’amiable.
Cela fait longtemps que la loi sur les espèces en voie de disparition a été mise à jour pour mettre en œuvre un protocole scientifique moins émotionnel pour décider quelles zones doivent être fermées afin de protéger les animaux et les plantes de valeur. Le communiqué de presse suivant est disponible.
BlueRibbon Colalition est une organisation nationale de loisirs qui soutient les efforts bipartites du Congrès pour réformer la loi sur les espèces en voie de disparition. Le BRC est d’accord avec le président Richard Pombo (R – Tracy) ainsi que le membre du Congrès Dennis Cardoza, D-Merced, que l’ESA doit être corrigé.
Il y a de nombreuses années, les activités récréatives sur les sentiers étaient négativement affectées par les mauvaises applications de la Loi, y compris les désignations massives d’habitats essentiels, les restrictions d’utilisation des terres et les restrictions d’utilisation des terres liées à la chouette tachetée du Nord et à la tortue du désert de Mojave, à la grenouille à pattes rouges, à la grenouille à pattes rouges Grenouille et Crevette Fée.
Don Amador, le représentant de la région ouest de la BlueRibbon Coalition a déclaré qu’il était heureux de voir les deux partis politiques soutenir la réforme de l’ESA. Trop souvent, nos droits d’accès ainsi que les droits des propriétaires privés ont été sacrifiés à des fermetures de terrains injustifiées. ?
« Les extrémistes verts tentent actuellement d’utiliser la loi pour limiter l’accès motorisé historique à Clam Beach, dans le nord de la Californie, pour protéger le Pluvier neigeux de l’Ouest, une espèce menacée. Ces fermetures ne sont souvent pas nécessaires au rétablissement d’une espèce. Cet effort bipartisan visant à garantir que la mise en réserve d’habitats puisse être scientifiquement fondée et non politique est un énorme pas dans la bonne direction. Amador continue.
Trop souvent, l’accès historique a été contesté par ?menacé ? espèces. Les sous-espèces et les populations distinctes (DPS) sont plus importantes que les espèces menacées. Le projet de loi comprend une fonctionnalité qui permettra une plus grande flexibilité dans le traitement des animaux menacés et exigera plus de rigueur scientifique lors de l’inscription des DPS. Amador continue.
Le BRC est un partenaire dans l’intendance des terres et collabore avec des agences fédérales et l’Université de Washington pour mener un projet de recherche axé sur les loisirs sur la Chouette tachetée du Nord. La proposition Pombo/Cardoza soutient que les décisions de gestion des terres devraient être fondées sur la science. C’est un grand effort que notre organisation soutient. Amador conclut.
